Pour que la grisaille du port s'habille d'éternel
Et les navires parlent entre eux de celui qui savait les vieux
Quand la Fanette avait ses yeux
Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel
Comme des restes de remords entre terre et ciel
Et les nuages volent bas, encore plus bas qu'en ce temps-là
Comme s'ils pleuraient pour ces gens-là
Et je chante, toi, tu t'éloignes, valse lente
Image morte mais vivante au coeur de tous ceux qui voulaient
Que tu chantes les bourgeois bouffis, les servantes
Tous les paumés qui se lamentent et qui vivent de leurs secrets
Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel
Comme écume sur mer du Nord, gouttelettes arc-en-ciel
Et les marins chantent toujours au son d'un accordéon lourd
Qui pleurerait du mal d'amour
Et je chante, toi, tu t'éloignes, valse lente
Image morte mais vivante au coeur de tous ceux qui voulaient
Que tu chantes les bourgeois bouffis, les servantes
Tous les paumés qui se lamentent et qui vivent de leurs secrets
Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel
Et tous tes mots frappent si fort dans ma mémoire rebelle
Que j'ai voulu te dire ce soir, qu'un jour au fond de ma nuit noire
Tes chansons m'entrouvirent l'espoir
Et je chante, je chante.
Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel Pour que la grisaille du port s'habille d'éternel Et les navires parlent entre eux de celui qui savait les vieux Quand la Fanette avait ses yeux Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel Comme des restes de remords entre terre et ciel Et les nuages volent bas, encore plus bas qu'en ce temps-là Comme s'ils pleuraient pour ces gens-là Et je chante, toi, tu t'éloignes, valse lente Image morte mais vivante au coeur de tous ceux qui voulaient Que tu chantes les bourgeois bouffis, les servantes Tous les paumés qui se lamentent et qui vivent de leurs secrets Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel Comme écume sur mer du Nord, gouttelettes arc-en-ciel Et les marins chantent toujours au son d'un accordéon lourd Qui pleurerait du mal d'amour Et je chante, toi, tu t'éloignes, valse lente Image morte mais vivante au coeur de tous ceux qui voulaient Que tu chantes les bourgeois bouffis, les servantes Tous les paumés qui se lamentent et qui vivent de leurs secrets Sur Amsterdam traînent encore les vocalises de Brel Et tous tes mots frappent si fort dans ma mémoire rebelle Que j'ai voulu te dire ce soir, qu'un jour au fond de ma nuit noire Tes chansons m'entrouvirent l'espoir Et je chante, je chante. Explain Request ×
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