Le port de Nantucket à la douceur d’un lit,
Et l’habitude y fait disparaître l’ennui,
Et le brouillard étouffe le contour et le bruit
Du port et de la ville,
Et de la vie.
Dans la mer des Sargasses, les algues engourdies
Et les vertes épaves tournent à l’infini.
Il y a tant de sirènes, il n’y a pas de merci
Dans la mer et l’amour,
Et dans la vie.
Dans l’océan de ma vie, je te suis,
Je te poursuis sans répit,
Moby Dick
MOBY DICK Le port de Nantucket à la douceur d’un lit, Et l’habitude y fait disparaître l’ennui, Et le brouillard étouffe le contour et le bruit Du port et de la ville, Et de la vie. Dans la mer des Sargasses, les algues engourdies Et les vertes épaves tournent à l’infini. Il y a tant de sirènes, il n’y a pas de merci Dans la mer et l’amour, Et dans la vie. Dans l’océan de ma vie, je te suis, Je te poursuis sans répit, Moby Dick Explain Request ×
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