Sa mèche de cheveux qui fout le feu à la cinquième
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois
Mais de la voir posée là, au centre des ombres
Comme le rayon d'un Dieu, mais d'un Dieu sans église
Dans les cendres d'un feu qui le coeur vous aiguise
Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas
Comme une apparition
Elle se lèvera bientôt et je serai là avide
On parlera un peu dans le marc du café noir
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay
Des embruns aux paupières, son âme hallucinée
Je suivrai du regard, gravirai les remparts
Et dans ses yeux sans fond où l'on cherche des histoires
J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière
Qui nous mènent à la mer
Kasia dans les étoiles, c'est l'Etoile du Nord
Le chemin infini qui relie l'âme au corps
C'est la beauté de tout ce qu'on ne peut tenir
L'oxygène à mes nuits, la force des sourires
Qui file entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut
Pas expliquer enfin, c'est la grâce
Oui, c'est Dieu
Et j'y crois
Quand elle danse pour moi, qu'elle me fait sentir plein
Qu'elle joue avec mon âme, qu'elle y met son parfum
Quand dans mes intérieurs
Y a des brumes à l'aurore
Elle me prend dans ses doigts, du pourpre
Elle fait de l'or
Et c'est là que je vais loin, loin du chemin des tristes
Quand elle m'emporte au fond
De ses yeux bien trop clairs
Qui ont la couleur d'un Est
Toujours un peu à l'Ouest
Elle, elle dit que tout va bien
Si tu la croises un jour à la pointe du jour
Elle t'emmènera, sûare, pour te montrer l'amour
Et ces ombres de Chine qui deviennent lumière
Et ces vagues toujours qui retournent à la mer
Qu'on avait cru perdues, c'est celui qui revient
Quand ton âme des nues a perdu son chemin
Kasia, quand elle est là, c'est le chant des marins
Que tu entends au loin, c'est le dessin d'un sein
Qui fait oublier ce mal que l'on s'est fait pour rien
Kasia, c'est pas la fin, c'est juste nos destins
C'est un peu comme un don, un tableau italien
C'est un quatre septembre qui se marie en juin
Kasia s'endort dans son appartement
Sa mèche de cheveux qui fout le feu à la cinquième
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois
Mais de la voir, posée là au centre des ombres
Je m'assois à ses hanches, et je regarde grâce
Et puis, quand je m'y penche sans prendre trop de place
Moi, je suis la rivière de ses yeux qui "lumièrent"
L'oxygène à ma flamme.
Kasia s'endort dans son appartement Sa mèche de cheveux qui fout le feu à la cinquième C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois Mais de la voir posée là, au centre des ombres Comme le rayon d'un Dieu, mais d'un Dieu sans église Dans les cendres d'un feu qui le coeur vous aiguise Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas Comme une apparition Elle se lèvera bientôt et je serai là avide On parlera un peu dans le marc du café noir Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay Des embruns aux paupières, son âme hallucinée Je suivrai du regard, gravirai les remparts Et dans ses yeux sans fond où l'on cherche des histoires J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière Qui nous mènent à la mer Kasia dans les étoiles, c'est l'Etoile du Nord Le chemin infini qui relie l'âme au corps C'est la beauté de tout ce qu'on ne peut tenir L'oxygène à mes nuits, la force des sourires Qui file entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut Pas expliquer enfin, c'est la grâce Oui, c'est Dieu Et j'y crois Quand elle danse pour moi, qu'elle me fait sentir plein Qu'elle joue avec mon âme, qu'elle y met son parfum Quand dans mes intérieurs Y a des brumes à l'aurore Elle me prend dans ses doigts, du pourpre Elle fait de l'or Et c'est là que je vais loin, loin du chemin des tristes Quand elle m'emporte au fond De ses yeux bien trop clairs Qui ont la couleur d'un Est Toujours un peu à l'Ouest Elle, elle dit que tout va bien Si tu la croises un jour à la pointe du jour Elle t'emmènera, sûare, pour te montrer l'amour Et ces ombres de Chine qui deviennent lumière Et ces vagues toujours qui retournent à la mer Qu'on avait cru perdues, c'est celui qui revient Quand ton âme des nues a perdu son chemin Kasia, quand elle est là, c'est le chant des marins Que tu entends au loin, c'est le dessin d'un sein Qui fait oublier ce mal que l'on s'est fait pour rien Kasia, c'est pas la fin, c'est juste nos destins C'est un peu comme un don, un tableau italien C'est un quatre septembre qui se marie en juin Kasia s'endort dans son appartement Sa mèche de cheveux qui fout le feu à la cinquième C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois Mais de la voir, posée là au centre des ombres Je m'assois à ses hanches, et je regarde grâce Et puis, quand je m'y penche sans prendre trop de place Moi, je suis la rivière de ses yeux qui "lumièrent" L'oxygène à ma flamme. Explain Request ×
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